Puisque tu pars
2 participants
Page 1 sur 1
Puisque tu pars
Puisque tu pars
1987
Découvrez Jean-Jacques Goldman!
Découvrez Jean-Jacques Goldman!
Découvrez Fredericks, Goldman, Jones!
Découvrez Jean-Jacques Goldman!
Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais, nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame, sans larmes
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison, aujourd'hui, c'est l'horizon
Dans ton exil, essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire, garde en mémoire
Notre au revoir, puisque tu pars
J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l'as pas fait
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais, ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez...
1987
Découvrez Jean-Jacques Goldman!
Découvrez Jean-Jacques Goldman!
Découvrez Fredericks, Goldman, Jones!
Découvrez Jean-Jacques Goldman!
Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais, nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame, sans larmes
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison, aujourd'hui, c'est l'horizon
Dans ton exil, essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire, garde en mémoire
Notre au revoir, puisque tu pars
J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l'as pas fait
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais, ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez...
Ce qu'en dit JJG (source parler de sa vie) :
Graffiti : "Puisque tu pars", un titre plus grave ?
Jean-Jacques Goldman : Pas vraiment, c'est une chanson sur le départ, sur la séparation et sur tout ce que cela implique. Moi, je trouve qu'elle se rapproche au niveau du texte de "Confidentiel".
Graffiti : Les souvenirs ne meurent pas et on ne coupe jamais complètement le cordon avec les êtres qu'on a aimés ?
Jean-Jacques Goldman : Je crois qu'à partir du moment où l'on s'est rencontrés, il reste obligatoirement des choses.
Jean-Jacques Goldman : Les gens se posent la question si elle s'adresse à quelqu'un en particulier, si elle parle de la mort, si... enfin 'les gens', certaines personnes. En fait, c'est une chanson... l'idée du thème m'est venue, à la fin des concerts, les gens chantaient. Ils chantaient : 'ce n'est qu'un au revoir...' je trouve cette chanson absolument épouvantablement laide et donc je me suis dit, il faudrait que je compose une chanson, plutôt que [Il chante] "ce n'est qu'un au revoir" [...] Et donc je me suis dit que j'allais faire une chanson sur le départ, mais pour montrer que le départ n'est pas forcément triste, mais qu'il y avait aussi des côtés positifs au fait de partir, le fait de se séparer.
C'est une chanson qui s'adresse peut-être à la mort comme un des aspects du départ, mais pas forcément, ça peut être aussi un enfant qui te quitte parce qu'il est adulte et tout ça. Même la mort, éventuellement, c'est aussi le départ vers... au moins un mystère, ou quelque chose d'autre. Donc, c'était simplement une chanson qui traite de ce phénomène du départ, de façon positive donc pas forcément triste, pas forcément comme un échec, quelle que soit cette séparation.
Que pensez-vous de cette chanson ? paroles ? musique ? votre interprétation ? studio ou live ?
Dernière édition par Sirima le Mer 12 Nov - 11:41, édité 1 fois
Re: Puisque tu pars
Elle me fait penser aussi à "Confidentiel",par le texte surtout!
C'est une chanson qui me touche énormément..ça me fait penser à la mort de quelqu'un,mais aussi la séparation en général....
C'est une chanson qui me touche énormément..ça me fait penser à la mort de quelqu'un,mais aussi la séparation en général....
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|