Infos sur JJG !
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Re: Infos sur JJG !
sur un forum de goldman, j'ai trouvé la copie d'un message de goldman en 2006 à un fan qui lui avait écrit :
"Je ne compte pas recommencer (disque + tournée) avant quelques années.
Tout simplement parce qu'on ne peut pas le faire sans en avoir envie.
Mais l'envie reviendra!"
D'accord, le début est dur à entendre, mais je retiens "l'envie reviendra !" , si ça c'est pas une nouvelle exceptionnelle !!!
Moi, je continue à espérer, à y croire, et si il faut attendre quelques années, c'est le temps qu'il me faut pour retrouver un travail, faire mon déménagement, me stabiliser dans la vie et faire des économies pour JJ, c'est parfait pour moi ! :coeurange:
Autre lettre automatique qu'on pouvait recevoir en 2004 :
Encore une info trouvée sur le même forum par un membre :
Voilà ce qu'il disait à Fred Hidalgo dans le "Chorus" n°53 en 2005 :
- La seule chose, aujourd'hui, que je puisse te confirmer en toute certitude, ce n'est pas la durée de cette absence, mais c'est qu'elle va être longue, qu'elle va prendre encore plusieurs années...
- Il ne s'agit donc pas d'une décision tout à fait irrévocable, mais plutôt d'une question d'échéance ?
- Disons que je reste ouvert à toutes les aventures... Y compris, donc, celle de refaire un album. [rire]
Et dans le "Chorus" n° 54 :
- D'après la presse "people", citant Michael Jones, tu t'octroierais en fait un break jusqu'à l'âge de 60 ans... Info ou intox ?
- Ce que j'ai dit exactement à Michael en privé, c'est que je reviendrai sur scène pour que ma fille sache que j'avais un métier... Michael m'a demandé : "Mais alors, ce sera quand ?" Et j'ai répondu : "Peut-être pour mes 60 ans, quand ma fille en aura sept ou huit..." Honnêtement, aujourd'hui, je n'en sais rien.
En 2009 :
" Pour Séverine, merci tes mots me touchent, je ne sais pas quand je referai des chansons, mais c'est à moi de dire merci pour tous ces témoignages d'attention, d'affection. Sincèrement JJG "
Vous avez pu remarquer qu'il a employé le mot "quand" et non pas "si"
Extrait interview Michael Jones dans La Dépêche datant du 26/08/11
"Je ne compte pas recommencer (disque + tournée) avant quelques années.
Tout simplement parce qu'on ne peut pas le faire sans en avoir envie.
Mais l'envie reviendra!"
D'accord, le début est dur à entendre, mais je retiens "l'envie reviendra !" , si ça c'est pas une nouvelle exceptionnelle !!!
Moi, je continue à espérer, à y croire, et si il faut attendre quelques années, c'est le temps qu'il me faut pour retrouver un travail, faire mon déménagement, me stabiliser dans la vie et faire des économies pour JJ, c'est parfait pour moi ! :coeurange:
Autre lettre automatique qu'on pouvait recevoir en 2004 :
Encore une info trouvée sur le même forum par un membre :
Moi j'ai une petite info assez sympa, je suis allez voir M. Jones à Courtelary (16 sept. 2011 en Suisse) on était une petite centaine de pingus et à la fin il a joué le jeu des photos et divers autographes, j'ai eu la chance de partager une bière avec lui et on a parlé quelques mots et je cite : "ça serait mentir qu'il (JJG) va revenir... mais ça serait encore plus mentir de dire qu'il ne prépare rien..."
Voilà ce qu'il disait à Fred Hidalgo dans le "Chorus" n°53 en 2005 :
- La seule chose, aujourd'hui, que je puisse te confirmer en toute certitude, ce n'est pas la durée de cette absence, mais c'est qu'elle va être longue, qu'elle va prendre encore plusieurs années...
- Il ne s'agit donc pas d'une décision tout à fait irrévocable, mais plutôt d'une question d'échéance ?
- Disons que je reste ouvert à toutes les aventures... Y compris, donc, celle de refaire un album. [rire]
Et dans le "Chorus" n° 54 :
- D'après la presse "people", citant Michael Jones, tu t'octroierais en fait un break jusqu'à l'âge de 60 ans... Info ou intox ?
- Ce que j'ai dit exactement à Michael en privé, c'est que je reviendrai sur scène pour que ma fille sache que j'avais un métier... Michael m'a demandé : "Mais alors, ce sera quand ?" Et j'ai répondu : "Peut-être pour mes 60 ans, quand ma fille en aura sept ou huit..." Honnêtement, aujourd'hui, je n'en sais rien.
En 2009 :
" Pour Séverine, merci tes mots me touchent, je ne sais pas quand je referai des chansons, mais c'est à moi de dire merci pour tous ces témoignages d'attention, d'affection. Sincèrement JJG "
Vous avez pu remarquer qu'il a employé le mot "quand" et non pas "si"
Extrait interview Michael Jones dans La Dépêche datant du 26/08/11
Quels sont vos projets ?
Cet automne, on va continuer la tournée, mais dans des petites salles puis en fin d'année, je vais travailler sur un nouvel album. La retraite, j'y pense mais dès que je m'arrête quelques jours, je ne tiens pas. Je suis accro à la scène.
Et avec Jean-Jacques Goldman ?
C'est quand il veut. Je suis plus que prêt à repartir avec Jean-Jacques mais lui ne l'est pas encore.
Re: Infos sur JJG !
Vous voyez, y'a toujours un espoir! :eye2:
didie- Non Homologué
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Re: Infos sur JJG !
émissions sur France télé sur JJG !
la date => "prochainement"...
désolé les G.A c'est une info imprécise pour l'instant mais bon, c'est toujours bon de savoir qu'il y aura une émission sur lui sur une chaine que tout le monde peut voir.
le lien => http://www.coulisses-tv.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=3449:jean-jacques-goldman-michel-delpech-et-michel-berger-a-lhonneur-sur-france-3&catid=39:chaines-nationales&Itemid=79
la date => "prochainement"...
désolé les G.A c'est une info imprécise pour l'instant mais bon, c'est toujours bon de savoir qu'il y aura une émission sur lui sur une chaine que tout le monde peut voir.
le lien => http://www.coulisses-tv.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=3449:jean-jacques-goldman-michel-delpech-et-michel-berger-a-lhonneur-sur-france-3&catid=39:chaines-nationales&Itemid=79
Invité- Invité
Re: Infos sur JJG !
Ah je viens de la poster mais tu m'as devancé
lilou24- Veiller tard
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Re: Infos sur JJG !
merci les filles :eye2:
sarah- Exilé
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Re: Infos sur JJG !
Merci pour les infos ! :pouce5:
Tagada- Quel exil
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Re: Infos sur JJG !
merci , c'est sympa les amis, pour les infos :pouce5:
didie- Non Homologué
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Re: Infos sur JJG !
Ah non, bravo à toi d'être si rapide
lilou24- Veiller tard
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Re: Infos sur JJG !
http://www.rsr.ch/#/option-musique/programmes/journee-speciale/?date=11-10-2011
Témoignages d'amis sur JJG pour son anniversaire :eye2:
Témoignages d'amis sur JJG pour son anniversaire :eye2:
lilou24- Veiller tard
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Re: Infos sur JJG !
Merci pour l'article ! :pouce5:
Tagada- Quel exil
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Re: Infos sur JJG !
merci lilou! c'est sympa d'entendre comment il travaille , et aussi sa personnalité !
didie- Non Homologué
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Re: Infos sur JJG !
Voilà, les filles, on a la date de l'émission sur France 3 !
Source le blog tvnews
"Jean-Jacques Goldman", signé Stéphane Benhamou et Laurent Rousseau, est le premier numéro de la nouvelle collection « Discographie », sur France 3. Diffusion lundi 31 octobre à 20h35. L’idée : revisiter une époque et un talent à travers les chansons d'un auteur.
Pour ce premier numéro de la collection, France 3 nous ouvre donc les portes de l'univers musical de Jean-Jacques Goldman. Quand il s'excuse — très souvent — de ne pas souhaiter répondre aux interviews, Jean-Jacques Goldman répond invariablement que tout est dans ses chansons. Tout est là, quelquefois caché derrière des refrains si populaires qu'on en oublie parfois le sens profond. Avec ses producteurs les plus proches et ceux qui l'ont connu très tôt comme Maxime Le Forestier, avec Didier Varrod son premier biographe, avec ceux qui l'ont magnifiquement interprété, Johnny Hallyday, Céline Dion, Patricia Kaas notamment, il nous sera raconté l'histoire souvent méconnue de 30 chansons de Jean-Jacques Goldman. Des chansons qui dessinent un autoportrait sensible ; les chansons de ses débuts avec les Red Mountain Gospellers ou Taï Phong ; ses premiers pas en solo avec Back in the city et, surtout "Il suffira d'un signe" qui le fera découvrir au grand public.
Stéphane Benhamou (propos recueillis par Noelle Corbefin) : "Nous avons convaincu Jean-Jacques Goldman de nous laisser réaliser ce film, d’accéder aux images, à ses archives. Lui ne veut pas qu’on parle de lui, et, comme le dit son premier producteur, moins on cherche à le voir, mieux il se porte ! C’est quelqu’un qui n’a jamais voulu se mettre en avant, qui a une peur panique de perdre son inspiration, de perdre le contact avec la vie quotidienne qui nourrit ses chansons, que ce soit Des vies, Encore un matin, Juste après, qui racontent à la fois des vies ordinaires et témoignent d’une époque. Ce sont des chansons qu’il n’a pu écrire que parce qu’il restait au contact des « vrais gens ». Ce n’est pas une posture. Il vient d’une famille profondément attachée à des valeurs de partage. Ainsi, alors que ses chansons faisaient un carton, en 1982, J.-J. Goldman tenait toujours la boutique familiale à Montrouge ! Il n’est pas dans une vie de bohême, il est dans la normalité absolue. Il a juste envie d’être un homme sérieux et tranquille qui fait bien son ouvrage".
Le film est construit en six parties selon Stéphane Benhamou, avec, pour commencer, des « chansons autoportraits » comme Je marche seul, puisque, en effet, Goldman n’a jamais fait partie d’une bande : "quand il est arrivé sur la scène publique, il n’était pas dans la bande des Sardou, Claude François et compagnie qui passaient régulièrement chez les Carpentier, il n’était pas non plus dans la mouvance de la nouvelle chanson française comme Souchon, Cabrel… et, même s’il avait de l’admiration pour Michel Berger, il n’avait pas de place à lui. On est dans les années post-new-age, électro, et il débarque avec un rock un peu traditionnel, chanté en français… et il arrive à trouver son public. Dans les chansons autoportraits, il y a aussi Comme toi qui parle d’une petite fille dont il a découvert l'histoire en regardant les photos d’un album de famille ; Bonne idée qui raconte la rencontre de ses parents et sa naissance, ou Quand la musique est bonne, à propos de son apprentissage musical. Chaque chanson est prétexte à creuser son histoire". Ensuite, deuxième partie avec les « chansons des débuts ». "Ce sont des chansons particulièrement intéressantes, parce que l’on voit bien tout ce qu’il y a là en germe, ses passions, avec notamment un Scopitone du milieu des années 70 que l’on n'a jamais vu à la télé. Evidemment, on raconte aussi l’histoire de son groupe Taï Phong, avec le succès très important de Sister Jane, et ensuite ses années de galère jusqu’à Il suffira d’un signe, début 82, qui a mis du temps à s’installer, parce que les maisons de disques avaient déjà, selon eux, quelqu’un sur ce registre de voix, à savoir Daniel Balavoine. Goldman va alors prendre son disque sous le bras et finir par décrocher la signature d’un album. A ce moment-là, il se sentait proche de ce que faisait Michel Berger et voulait aller dans cette direction, mais ça ne s’est pas passé comme ça. On montre un extrait d’un Grand Echiquier où Michel Berger avait invité Goldman à chanter avec lui Seras-tu là ? On sent bien ce petit complexe de supériorité chez Berger qui se considérait un peu comme le chef de file de la pop française. Et qui, si l’on en croit le premier producteur de Jean-Jacques, prenait un peu ombrage du succès phénoménal de Goldman".
Arrive alors la troisième partie du film où l’on aborde « les chansons qui nous ressemblent », comme Je te donne. "C’est le moment de la petite main de SOS Racisme, et, en pleine montée de l’intolérance, cette chanson prône des valeurs de partage, avec des paroles simples, immédiatement comprises par une majorité silencieuse de jeunes qui vont le suivre ! Il y aura aussi dans ce registre, Des vies, Juste après, La vie par procuration, On ira… puis nous passons à la quatrième séquence, avec les « chansons qui ont compris notre époque ». Nous, nous comprenons immédiatement qu’elles valent bien des analyses d’experts et de spécialistes de l’époque, telles Envole-moi sur les banlieues et l’intégration, ou Là-bas qui est une réponse directe aux discours de Le Pen et raconte la vie des immigrés dans leurs propres pays : pourquoi ils partent et quels sont leurs rêves… Il y a également Elle a fait un bébé toute seule ou Il changeait la vie, qui sont une photographie précise du moment et ont été des succès immédiats ! Goldman pour les autres".
La cinquième partie est consacrée à l’aventure du trio Fredericks, Goldman & Jones. Puis fin avec « chansons écrites pour les autres », ce que Goldman a toujours fait.
Pour ce premier numéro de la collection, France 3 nous ouvre donc les portes de l'univers musical de Jean-Jacques Goldman. Quand il s'excuse — très souvent — de ne pas souhaiter répondre aux interviews, Jean-Jacques Goldman répond invariablement que tout est dans ses chansons. Tout est là, quelquefois caché derrière des refrains si populaires qu'on en oublie parfois le sens profond. Avec ses producteurs les plus proches et ceux qui l'ont connu très tôt comme Maxime Le Forestier, avec Didier Varrod son premier biographe, avec ceux qui l'ont magnifiquement interprété, Johnny Hallyday, Céline Dion, Patricia Kaas notamment, il nous sera raconté l'histoire souvent méconnue de 30 chansons de Jean-Jacques Goldman. Des chansons qui dessinent un autoportrait sensible ; les chansons de ses débuts avec les Red Mountain Gospellers ou Taï Phong ; ses premiers pas en solo avec Back in the city et, surtout "Il suffira d'un signe" qui le fera découvrir au grand public.
Stéphane Benhamou (propos recueillis par Noelle Corbefin) : "Nous avons convaincu Jean-Jacques Goldman de nous laisser réaliser ce film, d’accéder aux images, à ses archives. Lui ne veut pas qu’on parle de lui, et, comme le dit son premier producteur, moins on cherche à le voir, mieux il se porte ! C’est quelqu’un qui n’a jamais voulu se mettre en avant, qui a une peur panique de perdre son inspiration, de perdre le contact avec la vie quotidienne qui nourrit ses chansons, que ce soit Des vies, Encore un matin, Juste après, qui racontent à la fois des vies ordinaires et témoignent d’une époque. Ce sont des chansons qu’il n’a pu écrire que parce qu’il restait au contact des « vrais gens ». Ce n’est pas une posture. Il vient d’une famille profondément attachée à des valeurs de partage. Ainsi, alors que ses chansons faisaient un carton, en 1982, J.-J. Goldman tenait toujours la boutique familiale à Montrouge ! Il n’est pas dans une vie de bohême, il est dans la normalité absolue. Il a juste envie d’être un homme sérieux et tranquille qui fait bien son ouvrage".
Le film est construit en six parties selon Stéphane Benhamou, avec, pour commencer, des « chansons autoportraits » comme Je marche seul, puisque, en effet, Goldman n’a jamais fait partie d’une bande : "quand il est arrivé sur la scène publique, il n’était pas dans la bande des Sardou, Claude François et compagnie qui passaient régulièrement chez les Carpentier, il n’était pas non plus dans la mouvance de la nouvelle chanson française comme Souchon, Cabrel… et, même s’il avait de l’admiration pour Michel Berger, il n’avait pas de place à lui. On est dans les années post-new-age, électro, et il débarque avec un rock un peu traditionnel, chanté en français… et il arrive à trouver son public. Dans les chansons autoportraits, il y a aussi Comme toi qui parle d’une petite fille dont il a découvert l'histoire en regardant les photos d’un album de famille ; Bonne idée qui raconte la rencontre de ses parents et sa naissance, ou Quand la musique est bonne, à propos de son apprentissage musical. Chaque chanson est prétexte à creuser son histoire". Ensuite, deuxième partie avec les « chansons des débuts ». "Ce sont des chansons particulièrement intéressantes, parce que l’on voit bien tout ce qu’il y a là en germe, ses passions, avec notamment un Scopitone du milieu des années 70 que l’on n'a jamais vu à la télé. Evidemment, on raconte aussi l’histoire de son groupe Taï Phong, avec le succès très important de Sister Jane, et ensuite ses années de galère jusqu’à Il suffira d’un signe, début 82, qui a mis du temps à s’installer, parce que les maisons de disques avaient déjà, selon eux, quelqu’un sur ce registre de voix, à savoir Daniel Balavoine. Goldman va alors prendre son disque sous le bras et finir par décrocher la signature d’un album. A ce moment-là, il se sentait proche de ce que faisait Michel Berger et voulait aller dans cette direction, mais ça ne s’est pas passé comme ça. On montre un extrait d’un Grand Echiquier où Michel Berger avait invité Goldman à chanter avec lui Seras-tu là ? On sent bien ce petit complexe de supériorité chez Berger qui se considérait un peu comme le chef de file de la pop française. Et qui, si l’on en croit le premier producteur de Jean-Jacques, prenait un peu ombrage du succès phénoménal de Goldman".
Arrive alors la troisième partie du film où l’on aborde « les chansons qui nous ressemblent », comme Je te donne. "C’est le moment de la petite main de SOS Racisme, et, en pleine montée de l’intolérance, cette chanson prône des valeurs de partage, avec des paroles simples, immédiatement comprises par une majorité silencieuse de jeunes qui vont le suivre ! Il y aura aussi dans ce registre, Des vies, Juste après, La vie par procuration, On ira… puis nous passons à la quatrième séquence, avec les « chansons qui ont compris notre époque ». Nous, nous comprenons immédiatement qu’elles valent bien des analyses d’experts et de spécialistes de l’époque, telles Envole-moi sur les banlieues et l’intégration, ou Là-bas qui est une réponse directe aux discours de Le Pen et raconte la vie des immigrés dans leurs propres pays : pourquoi ils partent et quels sont leurs rêves… Il y a également Elle a fait un bébé toute seule ou Il changeait la vie, qui sont une photographie précise du moment et ont été des succès immédiats ! Goldman pour les autres".
La cinquième partie est consacrée à l’aventure du trio Fredericks, Goldman & Jones. Puis fin avec « chansons écrites pour les autres », ce que Goldman a toujours fait.
Source le blog tvnews
Re: Infos sur JJG !
merci siriama noté!!! chouette c'est pendant les vacances je n'aurai pas gospel!!!!
metoo- Le coureur
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Re: Infos sur JJG !
Sirima !!!!j'ecris trop vite!!!
metoo- Le coureur
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Re: Infos sur JJG !
Merci pour l'info Sirima ! en plus, je ne risque pas d'oublier la date car c'est l'anniv de mon homme !!!
Bisousss
Bisousss
Invité- Invité
Re: Infos sur JJG !
Merci pour l'info Isa ! J'espère pouvoir regarder ! :[télé]:
Tagada- Quel exil
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Re: Infos sur JJG !
Je sais que je ne pourrais pas regarder car je fête Halloween le même soir, mais je vais enregistrer :[coeur]:
lilou24- Veiller tard
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Re: Infos sur JJG !
merci de l'info Sirima :pouce5:
sarah- Exilé
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Re: Infos sur JJG !
merci chef, vivement le 31 , je risque de louper le début car j'ai inventaire le soir!
didie- Non Homologué
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Re: Infos sur JJG !
L'émission est rediffusé sur pluzz.fr pendant une semaine...
http://www.pluzz.fr/ C'est un site qui rediffuse toutes les émissions France télévision!!
http://www.pluzz.fr/ C'est un site qui rediffuse toutes les émissions France télévision!!
lilou24- Veiller tard
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Re: Infos sur JJG !
super !!! merci lilou ! et voici la bande annonce :
et la bande annonce de l'émission qu'on a raté sur Mélody :
et la bande annonce de l'émission qu'on a raté sur Mélody :
Re: Infos sur JJG !
«Discographie» : Goldman, le chanteur silencieux
Diffusion: lundi 31 octobre 2011 à 20:35 sur France 3
Source Télé câble sat
Diffusion: lundi 31 octobre 2011 à 20:35 sur France 3
Le 11 octobre dernier, Jean-Jacques Goldman fêtait ses 60 ans. Personnage essentiel de la chanson française depuis trente ans, il est le sujet du premier numéro de «Discographie», une nouvelle émission musicale sur France 3.
Jean-Jacques Goldman a grandi à Montrouge (92), dans une famille juive-polonaise, avec un père communiste. En 1975, après des études de commerce à l’EDHEC Lille, il épouse Catherine avec qui il a trois enfants. Avec sa deuxième femme, Nathalie, il en a trois autres, et leur a promis d’être un vrai père de famille, de ne pas passer à côté d’eux. L’un de ses biographes, Emmanuel Bonini, assure : «En ce moment, il pouponne. Il a raté sa première vie de famille à cause des tournées». Il s’accorde, chaque année, une seule sortie sur scène, avec Les Enfoirés au profit des Restos du coeur.
Les influences
Après avoir débuté dans des groupes (Red Mountain Gospellers, The Phalansters et Taï Phong), il surgit en solo en 1981 avec un premier album, puis un deuxième en 1982 où se trouve le tube Quand la musique est bonne. Pour lui, une bonne chanson c’est «une chanson qui pense et qui danse». Et le seul Français qu’il évoque comme une influence est Léo Ferré. Le Ferré qui mêlait langue française et pop music… L’autre influence : Aretha Franklin, en particulier son morceau Think.
Les chansons
Depuis 1981, il a sorti sept albums studio, dont le dernier, Chansons pour les pieds, date de 2001. Avec le trio Fredericks, Goldman, Jones, il a enregistré deux albums studio. Goldman a aussi écrit et composé pour, entre autres, Céline Dion, Patricia Kaas, Johnny Hallyday, Patrick Fiori, Calogero, Maurane, Stephan Eicher…
L’homme d’affaires
Céline Dion n’en revient toujours pas : «Il déteste tous les à-côtés du show business. Et il va à vélo à son show, c’est pas normal, ça fatigue son monde» ! Jean-Jacques Goldman serait un homme ordinaire. «Tout le matériel lui est secondaire», assure un ancien collaborateur. Pourtant, le biographe Bernard Violet affirme qu’il «est le chanteur français le plus riche». Certes, il a changé sa Clio qu’il avait depuis quinze ans pour une Scénic et s’apprête à quitter son trois-pièces marseillais pour une maison qu’il a fait construire. Mais surtout, il a trois sociétés qui le mettent à l’abri : l’une est spécialisée dans les éditions musicales, une autre dans les négoces d’aéronefs, location de véhicules et la troisième dans la gestion d’appartements parisiens. Il en a vendu un à Benjamin Castaldi pour 2,5 millions d’euros et acquis un hôtel particulier dans le 6e arrondissement à Paris pour 10 millions d’euros.
Jean-Jacques Goldman a grandi à Montrouge (92), dans une famille juive-polonaise, avec un père communiste. En 1975, après des études de commerce à l’EDHEC Lille, il épouse Catherine avec qui il a trois enfants. Avec sa deuxième femme, Nathalie, il en a trois autres, et leur a promis d’être un vrai père de famille, de ne pas passer à côté d’eux. L’un de ses biographes, Emmanuel Bonini, assure : «En ce moment, il pouponne. Il a raté sa première vie de famille à cause des tournées». Il s’accorde, chaque année, une seule sortie sur scène, avec Les Enfoirés au profit des Restos du coeur.
Les influences
Après avoir débuté dans des groupes (Red Mountain Gospellers, The Phalansters et Taï Phong), il surgit en solo en 1981 avec un premier album, puis un deuxième en 1982 où se trouve le tube Quand la musique est bonne. Pour lui, une bonne chanson c’est «une chanson qui pense et qui danse». Et le seul Français qu’il évoque comme une influence est Léo Ferré. Le Ferré qui mêlait langue française et pop music… L’autre influence : Aretha Franklin, en particulier son morceau Think.
Les chansons
Depuis 1981, il a sorti sept albums studio, dont le dernier, Chansons pour les pieds, date de 2001. Avec le trio Fredericks, Goldman, Jones, il a enregistré deux albums studio. Goldman a aussi écrit et composé pour, entre autres, Céline Dion, Patricia Kaas, Johnny Hallyday, Patrick Fiori, Calogero, Maurane, Stephan Eicher…
L’homme d’affaires
Céline Dion n’en revient toujours pas : «Il déteste tous les à-côtés du show business. Et il va à vélo à son show, c’est pas normal, ça fatigue son monde» ! Jean-Jacques Goldman serait un homme ordinaire. «Tout le matériel lui est secondaire», assure un ancien collaborateur. Pourtant, le biographe Bernard Violet affirme qu’il «est le chanteur français le plus riche». Certes, il a changé sa Clio qu’il avait depuis quinze ans pour une Scénic et s’apprête à quitter son trois-pièces marseillais pour une maison qu’il a fait construire. Mais surtout, il a trois sociétés qui le mettent à l’abri : l’une est spécialisée dans les éditions musicales, une autre dans les négoces d’aéronefs, location de véhicules et la troisième dans la gestion d’appartements parisiens. Il en a vendu un à Benjamin Castaldi pour 2,5 millions d’euros et acquis un hôtel particulier dans le 6e arrondissement à Paris pour 10 millions d’euros.
Source Télé câble sat
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